Les patients s’aperçoivent qu’ils commencent à devenir presbyte parce qu’ils ont du mal à voir net de près et qu’ils éloignent progressivement les textes qu’ils ont besoin de lire, ils recherchent la lumière, ils modifient la position des lunettes sur le visage.

La vision dans un univers qui est plus rapproché que 50 cm devient plus floue, plus gênante, plus fatigante. Les patients consultent à ce moment là parce qu’ils ont ces symptômes de fatigue visuelle et de gêne à la vision de près, au travail sur écran.

«La presbytie touche tous les patients, que les patients soient emmétropes c’est-à-dire qu’ils n’aient pas besoin de lunettes jeunes, qu’ils soient myopes ou qu’ils soient hypermétropes.»

La presbytie se manifeste par une gêne pour la vision de près, on commence à reculer le texte que l’on veut lire, on arrive moins à voir les texto sur son portable, on arrive plus à lire les menus au restaurant, on est gêné dans on quotidien dès que l’on a quelque chose à lire autour de 50cm, on recherche de la lumière pour améliorer le contraste, on recule le texte pour être plus au point. Cette fatigue visuelle, cet inconfort visuel amène souvent les patients à consulter.

La presbytie touche tous les patients, que les patients soient emmétropes c’est-à-dire qu’ils n’aient pas besoin de lunettes jeunes, qu’ils soient myopes ou qu’ils soient hypermétropes.

Tout le monde devient presbyte, plus ou moins jeune mais c’est un signe de vieillissement qui survient dans tous les cas.